Cuba, c’est une aventure visuelle et sensorielle unique. Chaque rue, chaque visage, chaque paysage raconte une histoire. Entre La Havane et Trinidad, en passant par Viñales, voici un voyage en images, au cœur d’un pays vibrant et contrasté. La capitale cubaine est un spectacle permanent. Les façades décrépites mais colorées, les vieilles voitures américaines, les habitants assis sur le pas de leur porte… Tout semble figé dans une époque révolue, mais l’énergie qui s’en dégage est intemporelle. Dans le quartier de La Habana Vieja, les rues pavées résonnent au son des musiciens de rue, tandis que le Malecón, cette immense promenade en bord de mer, offre des couchers de soleil inoubliables. La Havane est une ville de contrastes, entre la beauté de ses bâtiments coloniaux et les stigmates de l’embargo qui marquent le quotidien des habitants. Pour voir l’album de ce voyage à Cuba, c’est par ici!
Départ pour Cuba, ses rues animées, ses plages bordées de palmiers, ses terres rouges et ses villes figées dans le temps. Pour oublier le quotidien, on plonge dans une autre réalité, celle d’une île marquée par l’embargo, où chaque trajet devient une aventure. Après un long voyage et des heures d’attente entre avions et contrôles, le dépaysement est immédiat. Première étape : La Havane, ses façades décrépites pleines de charme et son atmosphère envoûtante, avant de prendre la route… ou ce qu’il en reste. Entre Viñales et Trinidad, les kilomètres défilent au rythme des galères d’essence, des détours improvisés et des nids-de-poule qui transforment chaque trajet en épreuve. Mais au bout du chemin, des paysages à couper le souffle, des rencontres inoubliables et une musique omniprésente qui donne à ce voyage une saveur unique.
Niveau météo, on ne pouvait pas rêver mieux. En avril, le soleil cubain brille sans relâche, illuminant les façades colorées et les plages paradisiaques. Les températures flirtent avec la perfection, juste ce qu’il faut pour profiter sans suffoquer. Résultat : plus de 3000 clichés à trier et à traiter, entre ciels d’un bleu profond et couchers de soleil flamboyants. La sélection s’annonce compliquée, mais une chose est sûre : Cuba sait comment se montrer sous son meilleur jour. Au travail !
Boca ciega, sera notre point de chute, la casa de Yolanda, sa fille, la mafia… premiere immersion dans la douce réalité cubaine. Nos premieres rencontres, les premieres plages, les premieres magouilles des cubain. Il fait doux. Toujours marché dans la lumière nous conseille-t-elle, et on se retrouve vite dans une soirée qu’on ne maitrise pas.
Première grosse étape de ce voyage, La Havane, un saut dans le temps. La capitale cubaine est un spectacle permanent. Les façades décrépites mais colorées, les vieilles voitures américaines, les habitants assis sur le pas de leur porte… Tout semble figé dans une époque révolue, mais l’énergie qui s’en dégage est intemporelle. Dans le quartier de La Habana Vieja, les rues pavées résonnent au son des musiciens de rue, tandis que le Malecón, cette immense promenade en bord de mer, offre des couchers de soleil inoubliables. La Havane est une ville de contrastes, entre la beauté de ses bâtiments coloniaux et les stigmates de l’embargo qui marquent le quotidien des habitants.
Si je devais retenir une chose de Cuba, ce serait ses couleurs. Elles sont partout : sur les murs des maisons, dans les vieilles voitures rutilantes, dans les tenues éclatantes des Cubains. Chaque cliché est une explosion visuelle, où les teintes chaudes et saturées traduisent l’énergie et la chaleur humaine de l’île.
À quelques heures de La Havane, Viñales est une bouffée d’air pur. Ici, la nature est reine : des mogotes (ces formations rocheuses typiques) surgissent au milieu des champs de tabac, où les paysans travaillent encore selon des méthodes ancestrales. Les routes sont chaotiques, parfois presque impraticables, mais elles mènent à des paysages d’une beauté rare. À dos de cheval ou à pied, on découvre une campagne cubaine authentique, loin du tumulte des villes. Et puis, il y a les rencontres, ces échanges spontanés avec les agriculteurs qui partagent leur savoir-faire avec une générosité désarmante.
Trinidad, c’est le charme à l’état pur. Une ville figée dans le temps. Ses ruelles pavées, ses maisons aux façades pastel, ses chevaux qui circulent encore dans les rues… On a l’impression de déambuler dans un musée à ciel ouvert. Mais Trinidad, c’est aussi une ville qui vit au rythme de la musique. Chaque soir, la Plaza Mayor devient le théâtre d’un spectacle improvisé, où les habitants et les voyageurs se retrouvent pour danser au son de la salsa. Entre lumière dorée et ambiance festive, c’est un lieu où l’on pourrait facilement perdre la notion du temps.
Cuba, ce sont avant tout ses habitants. Derrière chaque regard capturé, il y a une histoire. Les sourires sincères des enfants jouant dans les rues, les visages marqués des vieux pêcheurs, la fierté des danseurs de rue… Chaque portrait est une rencontre, une émotion figée dans le temps. Malgré les difficultés du quotidien, les Cubains dégagent une incroyable joie de vivre, une résilience qui force l’admiration. À travers ces visages, j’ai voulu immortaliser la véritable âme de l’île.
À Cuba, la rue est un théâtre à ciel ouvert où chaque coin de trottoir raconte une histoire. Assis sur le pas de leur porte, les habitants observent le monde passer, échangent quelques mots avec les voisins, écoutent une radio grésillante ou simplement profitent du temps qui s’écoule lentement. Les enfants courent après un ballon dégonflé, une vieille dame balance doucement son éventail en discutant avec un passant, tandis qu’un groupe d’hommes refait le monde autour d’une partie de dominos animée. Ici, la frontière entre l’intime et le public est floue, et c’est ce qui fait le charme unique de ces scènes de rue : une atmosphère chaleureuse où chaque regard croisé semble inviter à la conversation.. Les autres photos se trouvent dans l’album.
Cuba est une terre de contrastes où la réalité du quotidien se heurte à une palette de couleurs éclatantes. Derrière les façades pastel et les vieilles américaines rutilantes, la vie des habitants est marquée par des pénuries, des restrictions et un système qui complique chaque chose du quotidien. Trouver de l’essence, des produits de première nécessité ou même une simple pièce de rechange pour une voiture relève souvent du défi. Pourtant, les rues débordent de vie et de lumière, comme pour défier ces difficultés. Les murs aux teintes vives, les enseignes peintes à la main et les vêtements colorés contrastent avec les galères du quotidien, offrant une illusion d’abondance et une résilience presque poétique. Ce décor, à la fois joyeux et trompeur, témoigne d’un peuple qui, malgré tout, avance avec le sourire et une énergie indomptable.
À Cuba, la musique est partout, elle imprègne l’air aussi naturellement que le parfum du tabac ou la chaleur du soleil. Elle s’échappe des fenêtres ouvertes, résonne dans les ruelles pavées et s’invite à chaque coin de rue, portée par des musiciens improvisés ou des groupes enivrés de rythme. Salsa, son cubano, boléro… chaque mélodie raconte une histoire, un bout d’âme de l’île. Dans les bars, les places publiques ou même sur le pas des portes, les corps bougent instinctivement, emportés par cette cadence irrésistible. Ici, la musique n’est pas un simple divertissement, c’est une façon de vivre, un langage universel qui unit les générations et fait oublier, l’espace d’un instant, les tracas du quotidien.
Les plages de Cuba sont un véritable paradis pour les amoureux de la mer et de la nature. Les plages de la côte sud, comme celles de Cayo Largo ou Playa Paraiso, offrent des paysages tout aussi spectaculaires, plus tranquilles, souvent désertes, idéales pour se ressourcer. On n’oubliera pas non plus cette plongé dans la baie des conchons autour de l’épave.
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